Quand l’acheteur public s’étonne de devoir finalement prévoir un maximum pour un accord-cadre…

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Fin d’une souplesse ou début d’une prise de conscience ?
Combien de jurisprudences faudra-t-il mettre en avant pour donner aux accords-cadres une dimension économique révélatrice d’une bonne définition du besoin ?
Cette définition du besoin n’est pas que technique :
« Qu’est qu’on achète ? » mais aussi « Combien ça coute ? », « Combien va-t-on acheter ? » et surtout « Pendant combien de temps ? »
L’obligation de mentionner un maximum n’est pas le sujet en tant que tel. A l’époque où il fallait absolument un minimum et un maximum, l’acheteur se posait toutes les questions pour les indiquer de façon « sincère ». La souplesse accordée, a diminuer la vigilance et même la « diligence » de l’acheteur. Voilà ce qui se passe quand on n’est plus obligé de se poser les mêmes questions d’avant… Et maintenant on se retrouve à focaliser sur la disparition de cette souplesse qui n’est qu’un détail parmi toutes les dispositions encore possibles.
Pourquoi ne pas donner des informations que l’on a, ou que l’on devrait « normalement » avoir ? Accélérez vos compétences avec Conseil h@ !

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